à Azille

à Azille

Non ce n'était pas le dernier point café de la saison, il en reste un, celui de Pennautier. On se souvient du froid et de la pluie de l'an dernier et on espère que ce ne sera pas la même chose cette année. En tout cas aujourd'hui, malgré le froid au départ (1°), et l'heure plus matinale en raison de la longueur du parcours, le soleil était au rendez-vous, comme 18 gars du club. Quinze furent au départ d'Alairac (dont 13 sur la photo, Alain et Jean-Luc étaient un peu en retard...) puis Alain A Christophe et Thierry nous attendaient à Carcassonne. Une belle équipe donc s'est rendue à Azille avec un petit vent dans le dos, si bien que cette première partie, plutôt plane fut roulée à 26,3 km/h de moyenne, sans trop forcer... ce qui ne sera pas le cas de la suite!

Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille
Prmière partie et accueil à Azille

Prmière partie et accueil à Azille

Azille n'est pas la porte à côté pour nous, mais valait le déplacement. Beaucoup de monde sans nul doute et à notre arrivée nous croisâmes l'équipe rouge et blanche des Lucois venus en nombre,  qui quittaient le point café. L'accueil était fort sympathique et la table abondante... Mais la partie plus ardue nous attendait. 

Direction Douzens et son château des templiers, puis Comigne avant de gravir, pour une partie d'entre nous, le col du fer à cheval menant à Montlaur. 

Petit point au croisement de Capendu/ Montlaur. Puis tandis que certains décidaient de faire un retour plus facile, les autres entreprirent les 3 ou 4 kilomètres d'ascension.

Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval
Ça repart vers le fer à cheval

Ça repart vers le fer à cheval

Evidemment, les costauds arrivés en haut en premier prirent le soin de revenir chercher les attardés. Kévin oublia un peu qu'il restait pas mal de chemin encore, contre le vent qui plus est. Mais il s'offrit le luxe de faire une remontée des cyclos assez spectaculaire. Parti en dernier il remonta plus de la moitié du peloton. Oui, oui, ça fait plaisir, mais mal aux jambes après! Mais comme le garçon est bien vaillant et courageux, on ne l'entendit pas ronchonner ni se plaindre, sa besace était pleine du sourire d'en avoir grillé certains (moi, par exemple!). 

Mais la distance et le vent contre ont donné du fil à retordre. Heureusement, nous avions nos machines de guerre, telles qu'il y a une quinzaine d'années. Les sieurs Alain E, Jean-Luc et Jean-Louis sont toujours aussi efficaces et on dirait que le vent les oublie tellement leur pédalage est fluide, puissant. Le regard est droit, la tête ne bouge pas, je crois qu'il faudrait une tempête pour les faire dévier un peu. Enfin c'est du bonheur pour nous, il n'y a plus qu'à prendre les roues... heu... quand on peut bien sûr. Mais ils ne sont pas rosses et nous laissent revenir quand ils voient que ça décroche un peu trop. Bravo les gars, ne changez rien, c'est ça le bel esprit cyclo, et on veut le garder celui-là!

Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds
Retour  contre le vent pour les costauds

Retour contre le vent pour les costauds

C'est donc avec plaisir qu'on retrouve Carcassonne après avoir choisi d'éviter la 113 en passant par Berriac. Les jambes commencent à être lourdes pour certains après 25 kilomètres contre le vent avec pas mal de bosses encore, ou de faux plats montants. Puis nous penons la rue de Verdun direction Salvaza pour éviter des crochets inutiles. Nous avons plus de 100 kilomètres au compteur, et plus 1100 mètres de D+ à plus de 23 de moyenne. Le rythme était bon pour une fin d'hiver. Mars arrive et le peloton y pense. Bravo Kévin pour ton courage et ta pugnacité. Merci les gars, c'était une belle matinée. rendez-vous à Pennautier pour le dernier point café 2017 (déjà!).

Puis j'ai oublié: super ton nouveau vélo Michel, Origine une marque qui monte!

Kévin, bien accompagné!

Kévin, bien accompagné!

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