Territoires en danger
Territoires en danger
Territoires en danger

Territoires en danger

Du vin, le groupe des vingts cyclos Malepère, purent en boire, (mais sans excès bien sûr), au point café de Bram, et ce ne fut pas en vain qu'on y vint, car chemin faisant, nous y découvrîmes l'humour paysan, germe d'une révolte plus profonde. Non seulement quelques croix bien placées jalonnaient le parcours, mais quelques lignes bien rédigées ont paru sur le site "Le Bon Coin", dont je vous recommande ici la lecture.

Villages à vendre!
Villages à vendre!
Villages à vendre!
Villages à vendre!
Villages à vendre!
Villages à vendre!

Villages à vendre!

Les médias nationaux et régionaux en ont fait l'écho, et il vaudrait mieux que nos politiques prennent une mesure réelle, non seulement de la géographie locale qu'ils semblent méconnaître, mais aussi de l'impact socioéconomique qu'impliquerait le retrait des communes de la piège des zone dites défavorisées. Déshabiller Pierre pour habiller Paul, on commence à en ressentir les effets dans l'éducation nationale, c'est l'agriculture qui est visée cette fois... et ça va vite, pour toucher bientôt les autres secteurs. La société est en marche, on ne sait pas trop vers quoi, mais il semble bien qu'à part la finance et les technologies de pointe, et le statut des députés, qui malgré les beaux discours en matière d'exemplarité reste un secteur bien protégé (ils ne sont pas maso!),  tout le reste est dans le collimateur.

Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...
Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...
Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...
Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...
Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...
Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...

Extraits de Sud Ouest, du Figaro, du Point...

Mais revenons à nos moutons, pas ceux des paysans qui bientôt n'en auront plus chez nous, mais à notre belle sortie de ce dimanche 18 février. Destination Point Café de Bram. Premières photos, et ce matin, une certaine effervescence régnait. 15 présents au rendez-vous du départ, plus deux (René et Denis) qui prenaient un peu d'avance car on commençait par une bosse, notre bonne Malepère. Kévin a orné son casque d'une belle Go-pro... va y avoir de la concurrence! Les gars, faites-vous beaux et gaffe aux paroles... ne jouez pas à la Laurent W!

Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie
Première partie

Première partie

15 + 2 = 17 (c'est pas trop dur, je sais faire à force de redoubler). Alors pourquoi vingt me direz-vous? C'est tout simplement qu'à Bram nous retrouvâmes Régis, Viviane et Bernard. La pluie a cessé, enfin, et ce n'est pas le petit vent frisquet qui nous a arrêté. Les 5 degrés sont compensés par la bonne humeur et la joie de se retrouver si nombreux. Évidemment, les cyclos bramais ont l'art de la réception et rien ne manquait. François en a profité pour réparer. Une crevaison à quelques mètres du ravitaillement... quand on est chef il faut savoir s'organiser, on ne crève pas n'importe où!!!

Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram
Au point café de Bram

Au point café de Bram

Puis tout le monde repart, direction Villasavary. Nous roulons ensemble quelques kilomètres et le groupe se divise en deux. Les costaud(e)s vont sur le long, les autres, avec les costauds qui doivent rentrer plus tôt, prennent la direction de la nouvelle plaine: Fanjeaux. Heureusement qu'il y a les politiques pour nous donner des cours de géographie, car on ne voit pas que ça monte, or comme dit sur le bon coin, il vaut mieux, en vrai, avoir des mollets. Mais que les collines et les montagnes au loin sont belles! Les Pyrénées apparaissent dans des trouées nuageuses, parées de leur manteau blanc. C'est vraiment magnifique. On en oublie qu'il faut pédaler. La morne plaine est oubliée... et le petit vent est maintenant notre allié, le paradis quoi! A Montréal Mikael et moi finirons notre sortie par une autre Malepère, la vue en valait le détours. A peu près 75 kilomètres au compteur et 1022 m de D+. Les jambes reviennent, faudra pas trop lâcher.

Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac
Retour vers Alairac

Retour vers Alairac

Retour à l'accueil